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Hier soir, les Chirac ont battus les records d'audience avec leur intervention dans l'émission "Vivement dimanche" de Michel Drucker... Ils nous sont apparus très sympathiques, égaux aux français. Lors de son interview, Jacques Chirac nous a révélé qu'il y aura "une vie après la politique, jusqu'à la mort". Serait-ce là le signe d'un départ en mai prochain ? Mr Chirac prendrait donc sa retraite... En effet, ce ne sont là que des suppositions mais si le Président envisageait une candidature aux prochaines élections, il n'évoquerait pas sa retraite et le fait qu'il y a une vie après la politique ! Attendons donc de voir ce qu'il en sera réellement...

2007 annonce une échéance présidentielle, et qui dit élections dit campagne. Et là, la campagne... Commencée trop tôt par des photos people cet été, elle se solde aujourd'hui par des gaffes de part et d'autre de l'échiquier politique, ridiculisant la politique française. Aujourd'hui les sondages ne veulent plus rien dire, chaque jours ils sont différents. Mais où va-t-on ? Nous avons Ségolène qui fait preuve d'une inquiétante légèreté dans ses propos et qui ruine la politique extérieure. Une chose est sûre : sur le plan diplomatique, elle ne vaut rien. La simple fait de se remémorer la "bravitude", ou encore la liberté du Québec le confirme. Même son discours du 11 Février sonne faux. Elle ne fait que promettre et elle s'engage à tout ! A quand le concret ? A l'entendre, il n'y a que des problèmes dont elle est la seule à pouvoir apporter des solutions. Quant à Nicolas, il égalise Ségolène sur le plan de la bêtise. Mobiliser le G.I.G.N, que dis-je, les casques bleus pour retrouver un scooter, c'est un peu fort ! Tellement fort, que nous en sommes à nous demander s'il ne s'agirait pas d'un excès de zèle de la part d'un lieutenant avide de promotion. Mais il y a aussi cette histoire des "R.G." que la gauche s'est vivement employée à en faire une affaire d'état. Mais où en sommes-nous arrivés ? Nous sommes au coeur d'un gue-guerre entre deux camps qui s'affrontent à coups de "boulettes" ! Faudrait-il rétablir la monarchie pour ne pas s'abaisser à ces bêtises ?

Ce jeudi annonce une fois de plus une très importante manifestation des enseignants, qui, selon les syndicats, devrait rassembler un nombre important de professeurs. Pour quel motif ? Sur quatre professeurs que nous avons interrogé, nous avons eut quatre motivations différentes. Cependant, cette fois ci la fin semblerait justifier les moyens. En effet, hormis les raisons habituelles de l'ordre des sur-effectifs, des conditions de travail,... on trouve des raisons qui présentent un intérêt particulier. Selon nos sources, le ministre de l'Education aurait modifié des postes pour motiver les projets de certains professeurs. Il aurait annoncé également des suppressions de postes pour permettre la création d'écoles maternelles. Toujours est-il que c'est une fois de plus les étudiants qui en pâtissent : c'est le priver de l'éducation qu'ils sont censé recevoir, même pour une journée. D'autant plus qu'être enseignant, c'est d'abord se soucier de l'éducation de ses étudiants. Encore des questions qui restent sans réponses...

Depuis déjà quelques mois, on entend parler de ce nouveau "Louvre" que les Emirats arabes unis projettent de construire sur l'île d'Abou Dhabi. Le principe est simple : la France accepte de prêter son label culturel "Louvre" ainsi que des oeuvres d'art pour remplir les galeries vides de ce nouveau musée, en échange de quelque partenariat économique plus ou moins flou. Pourquoi un tel partenariat ? Là est la question ! Il est omplètement aberrant de priver notre pays de ses richesses culturelles au nom de l'accès à l'art pour tous même aux populations des confins du désert... Marchandiser l'art est une chose, en faire un business en est une autre. De plus, faire du "Louvre" un label convoité est une idée omplètement loufoque. Là, on touche le fond. Aider les pays arabes à se construire un patrimoine culturel est une très bonne action, mais les cela ne doit pas être au détriment de notre patrimoine. Il faut revoir les risques et les enjeux. Il y a bien d'autres façons d'aider ces populations sur le plan culturel. Par exemple, ne pourrait-on pas créer une organisation culturelle sur le plan mondial, une sorte de Conseil supérieur de l'art chargé de ce genre de questions ? C'est en tout cas aujourd'hui un réel problème qui mérite qu'on s'y arrête.